Publié : 13 février 2010

Triste sort

Triste sort

par Bastien Gomez

Je prenais mon petit déjeuner quand mon cher ami revint avec le courrier et commença a trier.
- << Facture facture pup pup et re-pup. Ah, tiens ! s’ exclama Holmes.
- Qu’y a-t-il ? demandai-je.
- Une lettre de la police française, répondit il.
- Vite ouvrez la, dis-je impatient.
- Oui oui du calme Watson. Alors c’est le commissaire du Havre qui nous a écrit pour nous demander de l’aider pour un homicide qui traîne depuis quelque semaine.
- Ah ! Enfin du travail, m’exclamai-je.
- Oui nous partons demain pour la France. Faites vos valises.
- Nous partons encore pour la France ! Et oui mon cher ami se sont les risques du métier, ria-t-il. >> Quand je dis que nous partons encore pour la France c’est qu il y a un mois nous nous y somme rendu pour arrêter un grand criminel, que nous avons bien sur mis sous les verrous. Mais bon je n’ai pas à me plaindre, nous voyageons au quatre coin du monde rencontrons des gens célèbre. En bref nous avons le meilleur métier du monde.

Pendant le voyage Holmes sembla inquiet. Mais je ne sais pas si c’était dû au mal de mer ou à autre chose. Une fois arrivé au Havre le commissaire nous conduisit sur la scène de crime : c’était une maison chic des haut quartiers.
- << Le corps n’est plus là car les légistes l’ont emmené au labo, si vous voulez le voir je vous dirais quand cela sera possible, informa le commissaire Lestrade. Ce ne sera pas utile, dit Holmes froidement, je me contenterai de leur rapport.
- Mais qui est la victime ? Interrogea Watson.
- John Waterson, répondit Lestrade. rester avec le corps, moi je vais voir près de la fenêtre.
- Très bien, déclarai-je. >> Nous commençâmes donc l’enquête. Le lieu du drame était une grande chambre richement décorée. Pendant la recherche d’indices le nom de John Waterson me trottai dans la tête, quand soudain cela me revint : c’était le nom du principale rival de Holmes. Mais bizarrement mon ami ne prononça aucun mot à ce propos. Je trouvai près de l’emplacement du corps du tabac.
- Holmes venez voir vite ! Criai-je.
- Qu’y a-t-il, répondit il.
- J’ai trouvé du tabac, répondis-je fièrement.
- Du tabac ! Cria-t-il, le visage plein de stupeur.
- Ben oui, bredouillai-je, et même d’excellente qualité comme le votre.
- Ah, intéressant, répondit Holmes livide, moi de mon coté j’ai trouvé un couteau de chasse ensanglanté, sûrement l’arme du crime, et aussi un balle de fusil de chasse. >> Sur la fin de la phrase de mon ami le commissaire Lestrade revint avec le rapport
- Tiens ? Commissaire je ne vous avais pas vu partir, dit Holmes.
- Et bien, je suis revenu et avec le rapport des légistes.
- Alors comment est il mort ? Demandai-je impatiemment.
- Il est mort poignardé. Le couteau est entré dans le dos entre les côtes et a perforé le poumon qui c’est rempli de sang et la victime n’a donc pas pu crier. En bref il s’est noyé dans son propre sang.
- Ah ! C’est horrible, gloussai-je.
- Au fait, j’allais oublier ils ont trouvé des éclats de couteau dans la victime, ajouta le commissaire.
- Bon, nous avons fini avec la chambre, je vais aller voir le voisinage, dit Holmes.
- Ne vous donnez pas cette peine il n’y a aucun témoin et nous n’avons qu’un seul suspect, son voisin M. Paul Henry.
- Son voisin ? Demanda Holmes.
- Oui les deux hommes ne s’entendaient pas très bien et même pas du tout !
- Bien, allons voir cet homme, dit Holmes en se dirigeant vers la sortie.
- Le problème c’est qu’il a un bon alibi.
- Un alibi ? Dit Holmes en revenant vers nous.
- Et oui, il est président du club "chasse et pêche" et il était avec le maire de la ville pour le baptême d’un bateau.
- Nous allons rentrer et réfléchir à tout cela, annonça Holmes >> De retour chez notre hôte, le commissaire nous avait trouvé un joli hôtel avec vue sur la mer. Je commençai à réfléchir. Une sombre idée me trottait dans la tête, plus le temps passait plus cette idée me semblait plausible. Soudain Holmes entra dans la chambre. Je n’avais même pas remarqué son absence.
- Je suis allé interroger M. Paul Henry et le maire, et j’ai réussi à arracher au maire que M Paul Henry n’était pas à la cérémonie.
- Mais où était-il ? Demandais-je.
- Oui, oui j’y viens, donc je suis allé réinterroger le suspect et il m’a confié qu’il faisait, contre un forte somme d’argent, passer des clandestins vers l’Angleterre, mais il m’a fait promettre de ne pas le dénoncer. Vu que son activité n’avais rien d’officiel il n’a donc pas de témoin pour prouver ces dires : il pouvait être donc n’importe où. Et donc pouvait rentrer et poignarder la victime. Le couteau est un de ceux utilisés par les chasseurs, la balle aussi. Etant lui-même chasseur cela ne peut être que lui prévenner la police et rejoignais moi avec eux nous allons l’arrêter. >> Pendant que je téléphoner mon hypothèse me trotter dans la tête. Quand le commissaire décrocha il me dis qu il ne pourrais envoyé ses homme que dans une demi heure. Ce qui me laisser le temps de prouver ou d invalider mon hypothèse. La demi heure écoulé je pris le taxi vers le domicile de M Paul Henry ou Holmes et le commissaire Lestrade et ses hommes m’attendaient.
- Enfin, s’exclama, Holmes on vous attendez.
- Désolé je tenais à vérifier quelque chose.
- Oui bon, dit Lestrade, mes hommes sont près.
- Et bien allons y, dit Holmes. Une fois à l’intérieur les policier et le commissaire entourèrent M Paul avant qu’il ne comprenne se qui se tramer. Holmes souriant dit
- << Enfin on vous tient vous croyiez que votre crime resterez impunis mais vous avez eu tort de nous sous estimer.
- Mais je n’ai rien a voir avec se meurtre, dit il en ramassant sa pipe.
- M Paul Henry vous êtes en état d’arrestation et vous …
- Attendez, coupais-je, M Paul n’est pas le meurtrier de M Waterson.
- Comment ça ?interrogea Lestrade.
- Le meurtrier n’est personne d’autre que mon collègue Sherlock Holmes.
- Watson vous perdez la raison ? s’exclama Holmes.
- Pas le moins du monde cher ami, j’ai même des preuves irréfutables.
- Mais Watson, bégaya Holmes, que racontez ….
- Laissez le parler, coupa froidement le commissaire, Quel sont vos preuve Watson ? continua t il.
- Et bien premièrement le tabac que j’ai trouver près du corps est le même que celui de mon ami, coïncidence je ne crois pas vu l expression que Holmes a pris quand je lui est dit. Deuxièmement le couteau du crime a laissé des éclats dans le corps or celui retrouver sur la scène de crime est lisse et si je suis arriver en retard se n’est pas pour rien, j’ai fouiller dans les affaire de mon collègue et j’ai pris son couteau il était propre mais ébréché et les éclats correspondaient exactement avec ses ébréchure, vous me dirais que l’arme du crime était ensanglanté mais Holmes la tout simplement trempé dans le sang de la victime. Et troisièmement la balle trouver près du corps n’est pas tomber de la poche du meurtrier, c’est Holmes qui la dérobé chez M Paul et la mise sur les lieu du crime je peu même le prouver M Paul ou ranger vous vos balles ?
- Dans le tiroir derrière vous dans une mallette noire, dit il.
- Très bien merci, dit-je en prenant la mallette, regardez dans la mallette il y a cents emplacement pour mettre des balles et juste la vous voyez un emplacement vide la balle vient donc d ici.
- Mais la balle peut très bien ne pas venir d ici comment pouvez dire qu elle est bien de cette mallette ? Interrogea Lestrade.
- Mais tout bonnement grâce au numéro de série celui inscrit sur la balle est 03 01 97 le même que sur la mallette.
- Vous avez trouver le coupable mais quel est le mobile ? demanda Lestrade.
- Le mobile est tout simplement la rivalité entre ses deux détectives, expliquai-je
- Bien alors nous avons trouvé notre assassin, dit Lestrade en faisant signe à ses hommes de venir. >> Les policier embarqueraient Holmes il étais désespéré son visage étais livide il marmonna mis quel que chose dans sa bouche et l’avala.
- << Qu avez-vous avaler ! Interrogea Lestrade.
- Watson se fut un grand plaisir de travailler avec vous, dit Holmes en souriant.
- Pour moi aussi mon cher ami, répondis-je ému jusqu au larme. >> Holmes s’écroula avec le sourire toujours fiché au lèvre. En s’approchant de son corps je vis dans sa main la capsule qui contenait le cyanure qui l’avait tué et dans sa poche une lettre sceller avec les armoiries de Holmes. Au dos de cette lettre était inscrit << Pour Watson. >> J’ouvris la lettre et je la lu.

<< Cher Watson si vous lisez cette lettre c’est que je suis mort et vous m’en voyez désoler. Je suis fière de vous vous avez réussi à innocenter le suspect et arrêter le criminel, vous êtes digne de reprendre les enquêtes tout seul. Dans mon bureau derrière le quatrième tableau se trouve la combinaison du coffre où j’ai déposé tout l’argent que nous avons gagné au cours de ses années. Sur se mon cher ami mon meilleur ami devrai-je dire je vous donne mes adieu. >>

Cette lettre comporter les dernière parole de Sherlock Holmes le meilleur détective du monde à la fin tragique et aussi les dernière paroles de mon collègues et ami.

Fin

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