Un jour d’été, en 1848, une dame très sympathique vint me voir dans mon bureau, pour me parler du meurtre de sa meilleure amie.
<< - Bonjour, pour quelle raison êtes vous venue me voir, lui dis-je.
Bonjour, je suis venue pour vous racontez la terrible histoire de ma meilleure amie, M’a-t-elle dit, d’une voix triste.
Allez-y je vous écoute.
Mon amie, Victoria, a été tué lors de ses vacances en Guadeloupe. C’était il y a exactement trois jours, nous l’avons retrouvé morte dans son petit appartement de vacances, disait-t-elle en pleurant.
Avait-elle des ennemis ou des personnes avec lesquelles elle avait des disputes en ce moment ? Ou des problèmes d’argent ?
Oui, elle avait des ennuis avec l’un de ses ancien ami. Et financièrement elle n’avait aucun problème, elle avait hériter de ses parents, il y a quelques mois, une grosse somme d’argent.
Cet ancien ami était-il avec elle en Guadeloupe ? Lui demandais-je.
Non, je ne crois pas que Cédric était avec elle.
D’accord, et son mari, quel métier pratique t-il ?
Il est chimiste, il travaille dans un laboratoire.
Hum...Hum... Pour commencer j’aimerais bien allé inspecter les lieux du crime et surtout trouver de quelle manière a-t-elle était tuée. >>
Quand ma cliente et moi arrivâmes dans la ville où a eu lieu le crime, elle sursauta en apercevant une personne, cette personne était Cédric ! Décidément les deux seules preuves que je possédai portaient sur lui : sa dispute avec Victoria et nous l’avions aperçut ici, en Guadeloupe. Pour moi, le principal suspect était Cédric. Quelques minutes plus tard, accompagné du commissaire de police je décide d’aller inspecter la maison de la victime. Le corps était encore présent. Je pris ma loupe et j’aperçus, par terre, à quelques centimètres du corps, deux gouttelettes d’eau.
<< - Que voyez vous ? Intervint le policier.
Je vois au sol deux minuscules gouttes d’eau, Dis-je d’une façon révélatrice
Je ne vois pas en quoi l’eau aurait un rapport avec la mort de cette jeune femme. Expliquez moi cela.
L’eau aurait très bien pu être mélangée à un poison mortel, En déduisais-je. Ah ! Oui ! Cette hypothèse est tout à fait possible. >>
En continuant d’inspecter, j’aperçus, sur la table basse du salon, un verre d’eau mélangé à de la bière et à un poison mortel visible à la loupe. Je pensais donc que Victoria aurait bu ce mélange et en mourant, aurait fait tomber ses gouttes d’eau. Il s’agissait surement d’un empoisonnement. Je me grattai le menton , quand soudainement :
<< - Oui ! Je sais que son mari est chimiste ! M’exclamai-je.
Et alors ? Interrogea le commissaire.
Il aurait pu se procurer un poison mortel qu’il aurait fait boire à sa femme.
Mais pour quelle raison aurait-il commit ce crime ?
Victoria a hérité de la fortune de ses parents. Il a surement voulu en hériter à son tour ! >>
Ce n’était pas Cédric le criminel, mais bien le mari de Victoria ! L’enquête était terminée, on arrêta le mari de Victoria le plus vite possible.
FIN
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Dernière mise à jour : lundi 9 avril 2012